octobre 2006
C'est un état de siège
de Caryl Churchill
Mise en scène : Gianni Schneider
Avec : Edmond Vullioud, Camille Giacobino, Jean-Pierre Gos, Frank Semelet, Anne-Catherine Savoy
décor et lumière : Gianni Schneider
costumes : Lara Voggensperger
coiffure : Antonio Miele
maquillage : Sonia Geneux
accessoires : Mark Pralsky
assistante mise en scène : Magali Tosato
coproduction : Cie Gianni Schneider / Arsenic
Gianni Schneider réunit deux pièces de Caryl Churchill sous le titre C’est un état de siège. Ces textes composent différentes histoires qui traitent de sujets brûlants d’actualité. Aux grands discours et au réalisme, la dramaturgie anglaise préfère le décalage, la distanciation et l’évocation pour parler de réalités politiques, telles que la guerre, l’économie, l’environnement, etc. Elle fait résonner subtilement la brutalité du monde avec la violence intime de ses personnages et creuse les zones obscures du quotidien. Huis clos, dialogue en rupture, ces situations promettent frissons et étonnements, et plongent le spectateur dans un imaginaire social engageant.
Née à Londres en 1938, Caryl Churchill grandit au Canada puis revient en Angleterre où elle suit des études de littérature. C’est à cette période qu’elle écrit ses premières pièces. Dans les années 70, elle travaille comme auteure en résidence au Royal Court Theatre de Londres et collabore avec de jeunes compagnies. Jouées depuis quelques années en français, ses pièces sont riches tant sur le plan idéologique que dramaturgique et flirtent souvent avec un humour quasi surréaliste.
Mise en scène : Gianni Schneider
Avec : Edmond Vullioud, Camille Giacobino, Jean-Pierre Gos, Frank Semelet, Anne-Catherine Savoy
décor et lumière : Gianni Schneider
costumes : Lara Voggensperger
coiffure : Antonio Miele
maquillage : Sonia Geneux
accessoires : Mark Pralsky
assistante mise en scène : Magali Tosato
coproduction : Cie Gianni Schneider / Arsenic
Gianni Schneider réunit deux pièces de Caryl Churchill sous le titre C’est un état de siège. Ces textes composent différentes histoires qui traitent de sujets brûlants d’actualité. Aux grands discours et au réalisme, la dramaturgie anglaise préfère le décalage, la distanciation et l’évocation pour parler de réalités politiques, telles que la guerre, l’économie, l’environnement, etc. Elle fait résonner subtilement la brutalité du monde avec la violence intime de ses personnages et creuse les zones obscures du quotidien. Huis clos, dialogue en rupture, ces situations promettent frissons et étonnements, et plongent le spectateur dans un imaginaire social engageant.
Née à Londres en 1938, Caryl Churchill grandit au Canada puis revient en Angleterre où elle suit des études de littérature. C’est à cette période qu’elle écrit ses premières pièces. Dans les années 70, elle travaille comme auteure en résidence au Royal Court Theatre de Londres et collabore avec de jeunes compagnies. Jouées depuis quelques années en français, ses pièces sont riches tant sur le plan idéologique que dramaturgique et flirtent souvent avec un humour quasi surréaliste.
|
|
captationcaméras :
Eugène Dyson Robin Bucher Pontus Alveryd montage : Eugène Dyson |
